Fulbe&Khem : des compléments alimentaires naturels à base de plantes locales maliennes

Profil de l’entrepreneur :

Elimane HANNE, fondateur et Directeur Général de Fulbe&Khem
Après des études de comptabilité, économie et gestion à Assas Paris II, Elimane HANNE, athlète franco-malien, met fin à son cursus scolaire et se concentre sur sa carrière sportive.

Il se spécialise dans le 400m et devient champion d’Europe en 2011 et recordman de France du 4x400m, 12 sélections en équipe de France.

Globe-trotteur passionné par les traditions ancestrales du monde ainsi que par la nature et ses bienfaits, il décide de créer son entreprise.

Pour concrétiser son projet professionnel, il fait appel au Docteur Hervé STEPHAN, entraîneur international et ancien chercheur chez Arkopharma et à l’Institut National du Sport et de l’Expertise de la Performance de Paris.

En janvier 2015, il crée Fulbe&Khem Sarl, entreprise spécialisée dans la production et la commercialisation de compléments alimentaires, à base de plantes naturelle appelées « super-aliments ».

Le mot de l’entrepreneur :

Sa devise, son dicton :

« Je suis convaincu des bienfaits des plantes naturelles et je souhaite faciliter l’accès à des produits de qualités, efficaces, sûrs et au goût naturel. »

Sa vision d’un entrepreneuriat soucieux de son impact économique, social et environnemental

Fulbe&Khem est une entreprise spécialisée dans la commercialisation de compléments alimentaires, à base de plantes naturelles.

Elle a pour principal objectif d’offrir au public malien, régional et international, l’opportunité de vivre de manière plus saine, d’atteindre un bien-être et ceci en développant des produits naturels, écologiques et abordables en termes de coût. Fulbe&Khem entend faciliter l’accès à des produits de qualités, efficaces et sûrs.

Afin de mener cette mission à bien, le promoteur a misé sur l’approfondissement des connaissances de médecines traditionnelles ancestrales, combiné aux avancées technologiques qu’on connaît aujourd’hui.

La médecine par les plantes continue en effet de connaitre un succès colossal. L’idée est donc née de proposer des compléments alimentaires à base de plantes naturelles principalement issus de la médecine traditionnelle africaine.​

Lors des 3 premières années de Fulbe&Khem, M. Hanne résidait en France. Il achetait la matière première au Mali et faisait fabriquer ses produits par des labos Français. En 2019 il a décidé de localiser toute son activité au Mali. Proposer du travail aux jeunes déscolarisés et renforcer la capacité des coopératives sur place sont devenus ses nouveaux objectifs.

L’entreprise et son projet :

Fulbe&Khem est une entreprise spécialisée dans la commercialisation de compléments alimentaires, à base de plantes naturelles. Elle propose une gamme de compléments alimentaires à base de moringa, une plante du Mali très riche en vitamines et minéraux, d’Artemisia et de noix de cola, ainsi que la gamme de soins R3 SPORT pour sportifs à base d’huiles essentielles 100% pures et naturelles.

Fulbe&Khem a pour principal objectif d’offrir au public malien, régional et international, l’opportunité de vivre de manière plus saine, d’atteindre un bien-être et ceci en développant des produits naturels, bio, écologiques et abordables en termes de coût. A destination des hommes et des femmes de tout âge, Fulbe&Khem entend faciliter l’accès à des produits de qualités, efficaces et sûrs. Afin de mener cette mission à bien, le promoteur a misé sur l’approfondissement des connaissances de médecines traditionnelles ancestrales, combiné aux avancées technologiques qu’on connaît aujourd’hui.​

Il est impossible pour l’entreprise de satisfaire la demande croissante du marché malien et sous-régional car les équipements semi-automatiques dont elle dispose ne permettent pas de fabriquer en grande quantité dans le temps imparti, l’approvisionnement en petite quantité de matière première et des emballages met aussi souvent l’entreprise en rupture de stock.

Fulbe&Khem souhaite donc rehausser le niveau de son activité, à travers l’augmentation de sa capacité de production et l’acquisition de nouveaux équipements modernes et plus adaptés au contexte du marché pour satisfaire sa clientèle.

 

L’entreprise a pour objectif :

  • L’accroissement de la production pour répondre à la demande croissante
  • Le recrutement de nouveaux salarié.e.s

Son projet de développement :

Fulbe&Khem souhaite rehausser le niveau de son activité, à travers l’augmentation de sa capacité de production et l’acquisition de nouveaux équipements modernes et plus adaptés au contexte du marché pour satisfaire sa clientèle.

Pour atteindre ces objectifs, l’entreprise a fait appel à des investisseurs dont FADEV qui devrait permettre de financer :

  • L’augmentation de la capacité de production

Afin de répondre à une demande croissante du marché local mais aussi de la sous-région, l’entreprise a besoin d’optimiser son outil de production en acquérant de nouveaux équipements.​

En quoi Fulbe&Khem contribue au développement responsable de son pays ?

Grâce à l’accompagnement du FADEV, l’entreprise pourra :

  • Valoriser les ressources locales et les filières de production locale, délaissées par les structures d’encadrements publiques, orientées vers les cultures d’exportation ; tout cela grâce à des accords de partenariat avec des producteurs locaux qui sont regroupés en association ou en coopérative
  • Avoir un impact environnemental : la protection de l’environnement est un enjeu essentiel pour l’entreprise et elle exige de la part de ses producteurs de ne pas utiliser de désherbants. De plus, Fulbe&Khem favorise très largement la matière première certifiée bio.
  • Avoir un impact social grâce à la consolidation et création d’emplois
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Profil de l’entrepreneur·e :

Véritable autodidacte, Tchuenche Zebedee commence sa carrière comme employé dans divers magasins de distribution de produits cosmétiques.

Plus tard, il intègre la société camerounaise de savonnerie comme employé bénévole. En contrepartie de sa main d’œuvre, le promoteur est initié à la formulation des savons.

Il capitalise 12 ans d’expérience dans la fabrication des produits cosmétiques.
S’en suit une phase accrue de recherche documentaire portant sur les compositions chimiques, les dosages, la connaissance des différents acides de fruits et leurs vertus thérapeutiques.

En 2002, il débute son activité et se spécialise dans la production d’huiles antiseptiques. Face au succès rencontré, il développe deux nouvelles gammes de produits.

Le mot de l’entrepreneur·e  :

 

Sa devise : « Travail, endurance et succès ».

Sa vision d’un entrepreneuriat soucieux de son impact économique, social et environnemental :

« Un des objectifs les plus importants dans mon travail, c’est la transformation de nos ressources naturelles en produits finis. Cette activité économique permet une création de richesse qui génère directement des emplois sur mon territoire.

J’ai parfaitement conscience que le respect de l’environnement est fondamental et, dans le cadre de nos activités, nous limitons au maximum les externalités négatives. Nos produits sont réalisés à base de substances naturelles végétales et leurs fabrications ne génèrent pas de déchets toxiques ».

L’entreprise et son projet  :

CAPCO fabrique et commercialise des produits d’hygiène et des cosmétiques  à base de substances végétales naturelles tels que :

  • Des savons
  • Des huiles antiseptiques
  • Des crèmes réparatrices

Le produit phare, le savon, répond à un besoin de base des populations ; outre sa fonction hygiénique, il permet également de traiter certaines affections cutanées.

L’équipe est composée de 8 personnes (6 hommes et 2 femmes) qui exercent les fonctions liées à la production ou des fonctions commerciales.

Son projet de développement depuis le financement de FADEV en 2018 a permis à l’entreprise d’entreprendre

  • Un changement d’échelle et un passage d’une activité artisanale à semi-industrielle.
  • Le développement de son activité grâce aux actions suivantes :
    • Mise à disposition d’une unité dédiée à la production
    • Modernisation de la chaine de production grâce à l’acquisition de nouveaux équipements
    • Constitution d’un stock de matières premières et de produits finis suffisants afin de pouvoir approvisionner le marché.

CAPCO contribue au développement responsable de son pays par :

  • l’amélioration des conditions de santé des utilisateurs
  • la valorisation des écarts de tri grâce à l’utilisation des chutes de savon en sous-produit
  • la consolidation, la formalisation et la création d’emplois 
  • des produits accessibles à de nombreuses couches sociales de la population.
  • la valorisation des ressources locales (huile de palmiste, extraits de plantes médicinales etc.).

FADEV a pris une part minoritaire du capital de CAPCO de 16,7% et apporte un compte courant d’associés.

FADEV et le cabinet local Agro-PME travaillent en étroite collaboration pour appuyer ce projet.

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Profil de l’entrepreneur·e :

Alain Yohou est le fondateur de Rhyna-CI

Docteur en Biochimie appliquée cosmétologie et parfumerie à l’Institut de Chimie et Parfumerie de Bruxelles (1988), Alain Yohou dispose d’un long parcours dans la pharmacologie en Belgique et en Côte d’Ivoire ; Il a notamment été professeur à l’Institut de beauté Yves Rocher de Belgique ainsi que Chef Conseiller Cosmétique des Laboratoires Femia (Abidjan).

A partir de mai 1991, il exploite à titre individuel la production et la vente d’un produit antiseptique. Il a mûrit son projet et décide d’en faire son activité professionnelle: il crée la SARL RHYNA-CI en 2013.

Le mot de l’entrepreneur·e  :

 

« Etre un entrepreneur efficace et original c’est, selon moi,  contribuer à améliorer la santé de toutes les couches sociales de la population en développant des médicaments à partir de nos propres brevets.

Je suis soucieux du bien-être de mon personnel et je m’applique au fur et à mesure que mon activité se développe, à ce qu’il ait des conditions de travail toujours meilleures.

En tant que docteur en biochimie, mes recherches se focalisent aussi bien sur les substances naturelles que chimiques. Je mets ainsi en valeur toutes celles qui permettent d’avoir des produits très efficaces tout en veillant au respect de l’environnement ».

L’entreprise et son projet  :

La vitamine C et le clou de girofle sont de puissants antiseptiques naturels qui agissent autant sur les bactéries que sur les virus : l’entreprise ivoirienne RHYNA-CI, consciente de cela, a décidé de les utiliser dans l’élaboration de produits pharmaceutiques antiseptiques qu’elle commercialise depuis 2013.

Elle teste les produits au préalable et travaille en étroite collaboration avec des laboratoires pharmaceutiques. Ensuite elle fait breveter ces produits.

Elle a élaboré des bains de bouches et des produits dermatologiques qu’elle vend dans les pharmacies et auprès de quelques hôpitaux du pays.

Le marché conquis par le promoteur est en nette expansion et touche toutes les couches sociales de la population grâce à un prix nettement inférieur à ses concurrents, notamment par rapport aux produits importés.

L’entreprise aujourd’hui :

L’entreprise est en train de développer de nouveaux produits. Elle met également en place de nouvelles actions marketing liées à l’évolution de leur stratégie notamment en termes de distribution.

L’appui financier de FADEV a permis à l’entreprise :

D’être en capacité de répondre à la demande du marché en acquérant :

  • Une meilleure cadence
  • Un meilleur conditionnement des produits
  • Une meilleure maîtrise de la production

RHYNA-CI contribue au développement responsable de son pays par

– Des produits accessibles à toutes les couches sociales de la population grâce à des prix inférieurs à ceux proposés par les concurrents

– Un médicament local agréé et en capacité de se substituer aux produits internationaux importés

– La valorisation des ressources locales

– La consolidation et la création de nouveaux emplois dans l’entreprise : 15 personnes dont 6 femmes à fin 2018.

Apport de FADEV et de CCDE

FADEV

  • A pris une participation minoritaire de 16.7%
  • Apporte un compte courant d’associés

FADEV et le cabinet local CCDE travaillent en étroite collaboration pour appuyer ce projet.

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Profil de l’entrepreneur·e :

Olivia MVONDO MVOGO, Co-fondatrice et gérante de Kmerpad

Olivia MVONDO MVOGO, co-fondatrice de l’entreprise Kmerpad, en est aussi la gérante. Elle dirige cette entreprise avec ses associés Armand ANABA et Yap BOUM.

Olivia MVONDO MVOGO a obtenu un master en Stratégie & Marketing.

Elle a travaillé dans les secteurs de l’informatique, l’agroalimentaire et l’énergie avant Kmerpad.

Son profil polyvalent lui concède une facilité d’adaptation; aujourd’hui elle assure la partie administrative et management dans cette organisation.

Bien que les challenges soient multiples, elle est très fière d’être associée à cette aventure qui valorise la femme africaine.

 

Olivia Mvondo a décidé de créer une entreprise pour produire des serviettes hygiéniques réutilisable suite au constat suivant : une jeune fille camerounaise sur 10 ne va pas à l’école pendant ses règles.

Le projet Kmerpad est également construit autour d’un aspect éducatif : des actions de sensibilisation sont organisées toute l’année dans les écoles, les prisons et les camps de réfugiés pour enfin briser le tabou des règles.

Armand ANABA, co-fondateur de Kmerpad

Armand ANABA est un des co-fondateurs de Kmerpad. Il a occupé différentes casquettes. D’abord enseignant en mathématiques, puis géotechnicien et enfin superviseur réseaux télécom. Il est aujourd’hui le responsable des opérations au sein de Kmerpad.

Yap BOUM, co-fondateur de Kmerpad

Le troisième membre de l’équipe dirigeante est le professeur Yap BOUM II travaille à Médecins Sans Frontière où il assure la qualité des produits confectionnés à Kmerpad.

Au sein de Kmerpad, il est celui qui a créé des procédures de travail afin de garantir la chaîne de production.

Claude BIYA DJOKOU co-fondatrice de Kmerpad

Titulaire d’un master en finance, INSEEC Paris, Claude Marie a une expérience de 6 ans dans la gestion et la franchise de contrôle. Avant de rejoindre Kmerpad, elle a été conduite dans sa vision qui était de créer une entreprise sociale économiquement rentable. En tant que membre fondateur, elle utilise son expertise en matière de questions financières et de budgétisation pour aider l’organisation à atteindre ses objectifs.

Le mot de l’entrepreneur·e  :

Sa devise, son dicton :

«Brisons le tabou des règles et luttons contre les inégalités d’éducation liées à l’absentéisme des jeunes filles pendant leurs menstruations»

Sa vision d’un entrepreneuriat soucieux de son impact économique, social et environnemental :

« Lorsque j’étais en Ouganda, il y a quelques années, j’ai réalisé que les menstruations étaient un tabou. Les filles étaient confrontées à d’énormes difficultés en ce qui concerne l’accès aux serviettes hygiéniques, donc elles étaient obligées d’abandonner l’école durant la période de leurs règles. J’ai trouvé cela choquant et triste pour ces filles. Quand je suis retournée dans mon pays, le Cameroun, j’ai découvert les mêmes difficultés, les filles avaient alors recours à de vieux chiffons, des feuilles sèches ou des bottes d’herbe comme protections hygiéniques. J’ai pris conscience que cela s’était passé même au sein de ma propre famille. J’ai trouvé cela inacceptable et j’ai donc décidé d’agir.

Nous avons donc lancé une entreprise fabricant et commercialisant des produits de protection hygiénique recyclable composée d’un tissu 100% en coton produit au Cameroun. Nous considérons également qu’un travail d’éducation est nécessaire pour briser le tabou des règles et que les règles soient enfin considérées comme ce qu’elles sont : un phénomène naturel associé à la vie. C’est pour cela que nous menons des campagnes de « causeries » en gestion d’hygiène menstruelle. C’est une prestation qui accompagne nos livraisons de kits. Nous le faisons simultanément sur le terrain, en camps de réfugiés, en associations, à l’école et partout où besoin est. »

L’entreprise et son projet  :

Kmerpad est une entreprise de production de protection hygiénique recyclable et de prestation de service autour de cette problématique.

Forte de presque 7 années d’expérience, Kmerpad emploie actuellement 11 personnes dont plus de 80% de femmes.

L’entreprise produit une protection hygiénique recyclable composée d’un tissu 100% en coton produit au Cameroun, d’une couche de tissu imperméable pour éviter les fuites et d’un bouton de pression pour garantir sa stabilité.

Kmerpad propose également des prestations de services qui concernent la gestion de l’hygiène menstruelle. Celles-ci consistent à former et à sensibiliser aux bonnes pratiques en matière d’hygiène menstruelle, notamment dans les collèges et lycées.

Kmerpad a été créée en novembre 2012 grâce à une aide du ministère de l’intérieur Français « Programme d’autonomisation de la jeune fille ».

L’élaboration du premier prototype de la protection hygiénique recyclable FAM a été fabriqué en 2013 et les ventes ont commencées dès 2014. La production des protections hygiéniques recyclables a continué à augmenter durant les années suivantes, notamment avec les premières ventes à l’export au Bénin en 2017.

L’entreprise a pour objectif de :

  • Créer une chaîne de valeur pour garantir la qualité de ses produits
  • Promouvoir la production locale, le Made in Cameroun
  • Devenir le leader dans la production et la distribution d’accessoires d’hygiène recyclables, en tissu coton, en Afrique Centrale et en Afrique de l’Ouest.

Son projet de développement  :

L’entreprise souhaite développer son activité et augmenter sa capacité de production.

Pour la cela, Kmerpad a décidé de se restructurer, d’investir dans de la recherche et développement, d’accroître sa capacité de production et soutenir sa croissance.

Pour atteindre ces objectifs, l’entreprise a fait appel à des investisseurs dont FADEV et entamée un processus de levée de fonds qui devrait permettre de financer :

  • Le développement des activités dans la sous-région: l’objectif est de pénétrer les marchés de la sous-région d’Afrique centrale et d’Afrique de l’Ouest.
  • L’augmentation de la capacité de production : ceci impliquera une nette amélioration des conditions de travail et une restructuration de Kmerpad.

 

En quoi Kmerpad contribue au développement responsable de son pays ?

Grâce à l’accompagnement de FADEV, l’entreprise pourra :

  • Valoriser les ressources locales : utilisation du coton camerounais ;
  • Avoir un impact environnemental : proposition d’un produit réutilisable (jusqu’à 2 ans)
  • Avoir un impact sanitaire : utilisation d’un produit à base de coton, nettement meilleur pour la santé des femmes que les serviettes hygiéniques traditionnelles où on retrouve des matériaux synthétiques et de la cellulose.
  • Avoir un impact social grâce à:
    • La consolidation et création d’emplois pour les femmes ;
    • La sensibilisation à l’hygiène menstruelle en milieu scolaire (hommes et femmes) ;
    • L’accès à la protection hygiénique quelque soit le milieu social auquel la femme appartient (environ 2.28€ le paquet de 3 serviettes).

 

Prix, Certification, Concours : 

Lauréat du dispositif «La France s’engage au Sud »

Lauréat du prix Madiba – FORIM (Forum des Organisations de Solidarité Internationale issues des Migrations)

Lauréat du Hub Africa au Maroc

Lauréat d’Africa Start-up Tour en Côte d’Ivoire

Lauréat du Grand Prix de la finance solidaire 2019 dans la catégorie « Solidarité Internationale »

Lauréat des grands prix de français de l’étranger, catégorie éducation

Prix de l’innovation décerné à Dakarpar l’agence Onusienne WSSCC (Le Conseil de Concertation pour l’Approvisonnement en Eau et l’Assainissement)

Lauréat du prix Africa Now Forum au Cameroun

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